EnChanson. Les DerniĂšres Cartouches [13], chanson de Marius Richard, paroles de RenĂ© Esse, musique d’Émile Spencer, produit Ă  la Scala notamment. Au Théùtre. Les DerniĂšres Cartouches [13], piĂšce de Jules Mary jouĂ©e au théùtre de l'ambigu en janvier 1903. Lien externe. Site des troupes de marine : la Bataille de Bazeilles; Division

J'vais tout donnĂ© Roi dĂ©trĂŽnĂ© J'vais tout donnĂ© Sans discours erronĂ© J'vais tout donnĂ© Roi dĂ©trĂŽnĂ© J'vais tout donnĂ© Maintenant faut de la Money Money, Money, Money, Mo-mo-money Ok, putain de prod C'est hallucinant A la fin du son J'veux des remerciements Mon son est muet Car j'suis la voix du silence Vers l'or et la ruĂ©e, entourĂ© par mes gars du ciment Calmez-les, on va les ratatinĂ©s J'prĂ©fĂšre Kamini que ces rappeurs qui veulent nous baratinĂ© Ils se noient, dans les eaux profondes J'suis les dents de la mer, j'vais te la mettre, motherfuck' BoycottĂ©, jusqu'Ă  l'os Dans le Game j'suis une espĂšce rare comme les frĂšres bogdanov Marseille c'est bouillant, comme au Mali Le rap souffre j'ai dĂ©tectĂ© tellement d'anomalie Reporter HommeDeLaVillardiĂšre J'suis en poster, J'ai le soutient de ma ville entiĂšre ÉnervĂ©, retrousse les manches comme Mark Landers J'suis navrĂ©, j'veux rouler en Allemande flambant neuve J'vais tout donnĂ© Roi dĂ©trĂŽnĂ© J'vais tout donnĂ© Sans discours erronĂ© J'vais tout donnĂ© Roi dĂ©trĂŽnĂ© J'vais tout donnĂ© Maintenant faut de la Money Money, Money, Money, Mo-mo-money Ok, y'a que des rats Ils vont bouffĂ© des OGM MisĂ©rables, incapables de rĂ©pondre au QCM Le son est lourd, comme Magalie VaĂ© Il est sur de lui AliBomayĂ© Une dĂ©marche dĂ©ter Ezio AssassinsCreed Fuck le roi, direct du droit prĂ©pare l'esquive J'ai plus le temps, Il me faut des mappĂ© Quand je passe en radio, j'laisse aucun rescapĂ© Y'a que des partouzes, ils rappent entre eux, ils forment des sectes J'vais vidĂ© mes cartouches sur la New-School et le rap infecte J'monte l'adrĂ©naline, cartel de Medellin Ils livrent la pure Je suis MOH dans tout les cas il faut que j'abuzzz King Kong Animal Fuck les autres, Quartier Nord Criminal Comorien jusqu'au ongles PoignĂ© n'dzini Rien Ă  perdre quand on fout le dĂ©sordre pour vous c'est fini J'vais tout donnĂ© Roi dĂ©trĂŽnĂ© J'vais tout donnĂ© Sans discours erronĂ© J'vais tout donnĂ© Roi dĂ©trĂŽnĂ© J'vais tout donnĂ© Maintenant faut de la Money Money, Money, Money, Mo-mo-money J'vais tout donnĂ© Roi dĂ©trĂŽnĂ© J'vais tout donnĂ© Sans discours erronĂ© J'vais tout donnĂ© Roi dĂ©trĂŽnĂ© J'vais tout donnĂ© Maintenant faut de la Money Money, Money, Money, Mo-mo-money Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM

En1979, au moment il lui fallut affronter une masse de parachutistes ultra-nationalistes Ă  Strasbourg aprĂšs l'Ă©pisode de la Marseillaise reggae, il eut la Indochine fait toujours fantasmer. Alors que sort La rĂ©publique des Meteors », le 11e album du groupe, et que dix dates de la prochaine tournĂ©e sont dĂ©jĂ  complĂštes, son succĂšs dĂ©range encore. Le chanteur s’en explique. A bientĂŽt 50 ans, Nicola Sirkis devrait ĂȘtre serein. Le 26 juin 2010, Indochine sera le premier groupe de rock français Ă  se produire au Stade de France . Pourtant, Ă  chaque fois que sa bande revient dans l’actualitĂ©, il trouve sur sa route des personnes bien intentionnĂ©es pour lui rĂ©gler son compte. Cette fois, c’est son frĂšre aĂźnĂ©, Christophe, qui s’apprĂȘte Ă  sortir un livre partial. Il le dĂ©crit comme un ĂȘtre manipulateur, responsable de la mort de StĂ©phane, son jumeau ! Mais l’artiste prĂ©fĂšre ne pas se laisser entraĂźner dans la spirale nausĂ©abonde des histoires de famille. Il prĂ©fĂšre se concentrer sur la sortie de La rĂ©publique des Meteors », son album le plus intime, oĂč le chanteur parle pour une fois de lui, de ses amours et de ses dĂ©mons. Un disque qui surprendra avec ses ambiances Ă©lectroniques et ses ballades au climat Ă©thĂ©rĂ©. Paris Match. Pourquoi ĂȘtes-vous si peu optimiste dans ce nouvel album ?Nicola Sirkis. J’essaie de l’ĂȘtre au quotidien ! Mais je suis un déçu de la comĂ©die humaine. Enfant, on me parlait de la vie adulte comme de quelque chose de bien. Adulte, j’ai l’impression d’ĂȘtre dans la cour de rĂ©crĂ©ation en permanence. Tout le monde est jaloux, Ă  vif. Le mensonge est l’une des causes principales de la crise que nous subissons aujourd’hui... D’ailleurs, la chanson “Gagnants/perdants” de Noir DĂ©sir ne me fait pas rire. Le monde ne se rĂ©duit pas aux gentils opprimĂ©s et aux cyniques puissants. La suite aprĂšs cette publicitĂ© Dans “Republika” vous vous dĂ©finissez comme “rĂ©publicain de loin”.Parce que je ne suis pas dupe. Je veux bien participer Ă  la vie dĂ©mocratique, mais sans prendre tout pour argent comptant. Quand je vois Barack Obama, j’ai de l’espoir. En une nuit, il a rĂ©vĂ©lĂ© un peuple que je croyais arrogant et suffisant. Sarkozy est Ă©galement d’une habiletĂ© incroyable, mais attention je ne le vĂ©nĂšre pas. Sa dialectique comme sa maniĂšre d’embobiner les gens me fascinent. Par certains cĂŽtĂ©s, il me rappelle Bernard Tapie. Il est parfois marrant mais il a aussi eu des discours intransigeants, violents, renouant avec le pire de la droite française. La suite aprĂšs cette publicitĂ© Pourriez-vous voter pour lui ?Faut quand mĂȘme pas dĂ©conner... J’ai Ă©tĂ© choquĂ©, le 6 mai 2007, par le fait que les artistes venus fĂ©liciter Nicolas Sarkozy Ă©taient pour la plupart des exilĂ©s fiscaux. Ils refusent de participer Ă  la solidaritĂ© de la vie de la nation. On vous sent Ă  fleur de peau...C’est toujours ainsi quand j’écris. J’attends que les Ă©motions arrivent. Et pour cela, j’ai besoin de mĂ©lodies, de musiques... C’est une violence, mĂȘme si je me dĂ©voile sans m’en rendre compte. La suite aprĂšs cette publicitĂ© La suite aprĂšs cette publicitĂ© Vous rĂ©vĂ©lez avoir portĂ© les vĂȘtements de votre mĂšre !Comme tout le monde, non ? Mais j’assume. Encore aujourd’hui, Indochine est parfois perçu comme un “groupe de pĂ©dĂ©s”. Tant mieux, c’est une façon de jouer, de provoquer l’auditeur. Que retenez-vous de votre enfance ?Je ne la regrette pas. Je n’ai pas envie de regarder les sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es de l’époque, je ne vais pas aux rĂ©unions d’anciens camarades de classe, je ne me marre pas devant Casimir en mangeant des Haribo... J’ai Ă©tĂ© Ă©duquĂ© avec amour par mes parents. AprĂšs leur sĂ©paration, mon frĂšre et moi, nous nous sommes retrouvĂ©s en pension chez les jĂ©suites. MĂȘme si c’était dur, nous avons tenu, car nos parents nous avaient appris la tolĂ©rance. Je n’ai aucune nostalgie de l’enfance Ă  cause de cette pĂ©riode. Je peux rire de certains moments de ma jeunesse. Mais de la pension, pas du tout. C’était comme la prison. J’étais tellement impatient d’ĂȘtre libre... A 6 ans, je voulais piloter un avion et conduire une voiture Et votre adolescence ?Nous l’avons passĂ©e avec notre mĂšre, qui Ă©tait trĂšs tolĂ©rante. Ni elle ni mon pĂšre ne nous ont empĂȘchĂ©s de faire de la musique. Je les en remercie encore aujourd’hui. Ils sont d’ailleurs les premiers Ă  ĂȘtre fiers de ce qui nous est arrivĂ© ensuite. Si nous Ă©tions nĂ©s au Chili ou en Russie, tout cela n’aurait pas Ă©tĂ© possible. Que pensez-vous lorsqu’on vous assimile Ă  un Ă©ternel adolescent ?Je suis un vieux Peter Pan, mais je n’ai jamais Ă©tĂ© atteint par ce syndrome. La vĂ©ritĂ©, c’est que je ne fais pas mon Ăąge, parce que le rock conserve. Regardez Mick Jagger ! J’énerve, je reste le vilain petit canard, mais je ne vais pas me mettre dans le moule pour faire l’unanimitĂ©. La chanson “Bye bye Valentine” rĂ©sonne comme un hommage Ă  votre frĂšre StĂ©phane ?Absolument pas, elle s’adresse Ă  ma fille. Je sais qu’un jour elle partira, et j’en souffre dĂ©jĂ . Je devance mes angoisses. En ce moment, j’ai une relation fusionnelle avec elle. Elle a l’ñge de comprendre vraiment ce que je fais, elle veut chanter avec moi, elle retient les textes... Elle et moi avons une complicitĂ© qui me touche profondĂ©ment. Vous ĂȘtes pourtant sĂ©parĂ© de Gwen, sa oui... Je n’ai jamais parlĂ© de ma vie privĂ©e jusqu’à prĂ©sent. C’est la premiĂšre fois que je chante des choses aussi personnelles. Nous avons un lien trĂšs fort. L’écriture de ce disque m’a amenĂ© Ă  parler de ces Ă©vĂ©nements bouleversants. Mais je ne veux pas paraĂźtre impudique, j’évoque aussi d’autres personnes... Votre frĂšre aĂźnĂ© Christophe dit, dans son livre, que vous avez laissĂ© StĂ©phane mourir. Souhaitez-vous lui rĂ©pondre ? Non. Vous avez suivi une psychanalyse aprĂšs sa suis toujours en psychothĂ©rapie, je m’en sers comme gymnastique d’esprit. Si tout le monde passait par lĂ , nous n’en serions pas Ă  ce stade. J’ai Ă©vacuĂ© toutes mes haines et toutes mes aigreurs grĂące Ă  elle. Cela me permet d’ĂȘtre l’homme que je suis aujourd’hui, certainement pas serein, mais vivant un peu mieux. Vous allez avoir 50 ans cette annĂ©e...StĂ©phane aussi aurait eu 50 ans... En tant qu’ĂȘtre humain, je me sens comme un miraculĂ© de la vie, cet Ăąge m’amuse. Mais l’horloge tourne, donc cela m’angoisse. Indochine sera-t-il encore lĂ  dans dix ans ?Je ne sais pas. Dans ma tĂȘte, le prochain cap pour ce groupe, c’est la tournĂ©e et le concert au Stade de France. Ensuite, je partirai peut-ĂȘtre en week-end, et je rĂ©flĂ©chirai. Mais je n’ai jamais envie d’en finir, j’ai juste peur d’avoir la tĂȘte d’un vieux chanteur. De ce cĂŽtĂ©-lĂ , pour l’instant, ça va ! Selon certaines rumeurs, TĂ©lĂ©phone se reformerait l’an prochain. Un commentaire ?Pourquoi ne le feraient-ils pas ? Et s’ils se produisent au Stade de France, je m’en sentirai un peu responsable ! On verra le prix des places ! Pourquoi, selon vous, si peu d’artistes ont survĂ©cu aux annĂ©es 80, Ă  part Etienne Daho et Indochine ?Il reste aussi les Rita Mitsouko, et personne ne reproche Ă  Catherine Ringer ce que l’on m’a reprochĂ©, c’est-Ă -dire d’avoir continuĂ© aprĂšs la disparition de StĂ©phane. Etre sur scĂšne aprĂšs un drame absolu m’a sauvĂ©, mais il vaut mieux ĂȘtre pudique dans la douleur. AprĂšs, quand je vois les anciennes gloires des annĂ©es 80 sur les plateaux tĂ©lĂ©, je me dis que j’ai fait le bon choix. Je suis toujours restĂ© digne. Citations 1976 j'ai un minimum de pratiques sexuelles, puisque je vis avec un mec. source : 1976. Dire nos sexualitĂ©s; 1977 Tous Ă  les entendre dire, il avait niquĂ© les cent femmes du pays – heureusement qu'il n'Ă©tait pas de la pĂ©dale, sans ça, gare les mecs ! source : 1977. Une vie de cheval; 1969 Le mec Bahut vous a bonni pas mal de trucs dans ce bouquin, pas vrai ? source :
Lily Allen a expliquĂ© que la chanson pour le film Pan » Something’s Not Right » Ă©tait dĂ©diĂ©e Ă  son fils mort-nĂ©. DĂ©couvrez-lĂ  tout de suite! Lily Allen a Ă©crit une chanson pour le film Pan», Something’s Not Right». La star et son mari Sam Cooper ont deux filles, Ethel Mary et Marnie Rose, mais c’est un autre enfant qui l’a inspirĂ©e pour ce titre son fils mort Ă  six mois de grossesse. Il y a cinq ans aujourd’hui, j’ai Ă©tĂ© admise Ă  l’hĂŽpital. Quatre jours plus tard j’ai accouchĂ© d’un magnifique garçon, mais malheureusement, il ne s’en est pas sorti» a-t-elle expliquĂ© sur Twitter avant d’ajouter Ce n’est pas mon style de parler de ce genre de choses en public mais j’ai Ă©crit cette chanson pour le film Pan en pensant Ă  lui». Puis dans un dernier tweet, la chanteuse encourage ses abonnĂ©s Ă  faire un don Ă  l’association Sands qui soutient les personnes affectĂ©es par la mort d’un enfant. Retour Ă  la musique Lily Allen n’avait pas fait parler de sa musique depuis la sortie de son dernier album Sheezus» en 2014. La chanteuse britannique serait en train de prĂ©parer un nouvel album, mais elle a pris le temps de participer Ă  la bande originale de Pan» avant. Elle a collaborĂ© avec le co-fondateur du groupe Keane, Tim Rice-Oxley, pour composer ce titre. Ensemble, ils ont aussi travaillĂ© sur un autre morceau, Little Soldier». Pan» est sorti en France le 21 octobre. Il retrace l’enfance de Peter Pan, enlevĂ© et emmenĂ© au Pays imaginaire. Il rĂ©unit une belle brochette d’acteurs Garrett Hedlund dans le rĂŽle du Capitaine Crochet, Cara Delevingne dans la peau d’une sirĂšne et surtout Hugh Jackman en Barbe Noire. Ce dernier chante aussi sur deux morceaux de la bande originale Smell Like Teen Spirit» de Nirvana et Blitzkrieg» des Ramones.©Cover Media
Allergiquesà tout hasard, passez votre chemin ! Le sort d'une partie de Deadwood se joue en effet bien souvent sur deux ou trois coups de SĂ©bastien Patoche vous propose d'Ă©couter La Cartouche, la chanson de son album J'Emmerde les Bobos. Les paroles sont prĂ©sentes depuis paroles de La Cartouche ont Ă©tĂ© relues et mises en page autant que faire se peut, cependant, il est fort probable qu'elles contiennent encore des fautes. N'hĂ©sitez pas Ă  me contacter par pouvez Ă©couter la chanson de SĂ©bastien Patoche avec la vidĂ©o ci-dessous. C'est une p'tite gonzesse, Avec un pĂ©tard merveilleux. Une jolie blonde, Avec les yeux bleus. Quand j'la vois, Tous les matins, Moi, sous les draps, J'me fais un cinq contre un. Elle file sous la douche, Et la c'est Toute Une Histoire, J'lĂšve le chapiteau, Tout seul sous mon peignoir. J'comprends pas pourquoi, A chaque fois, ça fait mouche, Je n'suis pas chasseur, Mais j'lui mettrais bien une cartouche! [Refrain] Pan Pan Pan ! J'lui mettrais bien une cartouche. Pan Pan Pan ! J'lui mettrais bien une cartouche. Pan Pan Pan ! J'lui mettrais bien une cartouche. Je n'suis pas chasseur, Mais j'lui mettrais bien une cartouche. Elle est tellement belle, Qu'elle me f'rait faire une phlĂ©bite. J'me crois dans Top chef, J'lui rĂ©curerais bien la marmite. Plus, j'la vois, Plus j'me dis qu'elle est chouette. Et ça m'donne envie, De planter le javelot dans la moquette. Elle m'fait tourner la tĂȘte, Comme si j'Ă©tais dans l'Grand Huit. J'transpire des chaussettes, Elle f'rait sprinter l'unijambiste. Si tu comprends pas, J'vais en r'mettre une couche, Je n'suis pas chasseur, Mais j'lui mettrais bien une cartouche! [Refrain] Pan Pan Pan, J'lui mettrais bien une cartouche. Pan Pan Pan, J'lui mettrais bien une cartouche. Pan Pan Pan, J'lui mettrais bien une cartouche. Je n'suis pas chasseur, Mais j'lui mettrais bien une cartouche. x4 HĂ©,hĂ©,hĂ©,hĂ©,hĂ©,hĂ©,hĂ©,hĂ©... Merci SimonFloquart pour les paroles Note Loading... Le clip vidĂ©o de La Cartouche TĂ©lĂ©charger le MP3, acheter le CD Audio ou la sonnerie de La Cartouche Liens pour les lyrics de La Cartouche Pour votre site / blog, copiez cette adresse BBCode pour un forum, utilisez ce code
DerriĂšrelui une trainer de pisse Il reviendra surement avec ceux qui font pan avant de dire Leur non Qui termine leur liste J'ai tellement de problĂšme dans ma tĂȘte que pour tous rĂ©gler Faudrait me lobotomiser alors J'prie dieu quand j'suis dans la merde il le sait alors il M'laisse dedans J'me relĂšve j'ai l'air con de parler a quelqu'un que jai Jamais vue que personne a vue moi j'veut
ReplayEmissionLes touristesBERCEUSE PAILLARDE - "Pan pan pan, je lui mettrais bien une cartouche" 09/02/2018 Ă  22h50 ‱ 3min ‱ 72 vuesRĂ©sumĂ©C'est toujours le cĂŽtĂ© excessif de nos six cĂ©lĂ©britĂ©s Karine Ferri, Camille Lou, Baptiste Giabiconi, Artus, Jarry et Cartman en mission safari qui sont sur le point de dormir sous tente. Camille Lou demande une berceuse Ă  ses compagnons. Cartman se met de suite Ă  lui chanter une chanson douce en mode berceuse paillarde
 "Pan pan pan je lui mettrais bien une cartouche"
 hihihi
 Vous la connaissez vous ?Extrait du REPLAY de l'Ă©mission LES TOURISTES Mission safari du 9 fĂ©vrier 2018 Replay TV par chaĂźne Replays les plus vus Replays au hasard
Ily a 25 ans, le 21 avril 1989, sortait dans le commerce la premiĂšre console de jeu vidĂ©o de poche Ă  cartouche interchangeable, la Game Boy du japonais Nintendo, une merveille pour les gamins qui ne connaissaient pas encore le smartphone. Il y a 25 ans, le 21 avril 1989, sortait dans le commerce la premiĂšre console de jeu vidĂ©o de poche Ă  cartouche Le Deal du moment -20% OnePlus Nord CE 2 5G – 8GB RAM 128GB – ... Voir le deal 239 € GO YOUR OWN WAY MĂȘme que des fois, moi ze vomis ! MEURS ! PrĂ©sentations/fiches de liens/scĂ©nariosPartagez AuteurMessageStaff ♩ Reine des NeigesCassandre McCorner♩ Messages 35♩ Statut J'ai un flingue.♩ Profession Officier de police, profiler pour le FBI.♩ Avatar gemma artertonSujet CASSANDRE ○ pan pan pan, j'lui mettrais bien une cartouche ! Sam 9 Mai - 1521 Cassandre McCorner - C’EST CRUELLEMENT FATIGUANT D’ÊTRE JE SAIS PAS, FAUDRA QUE J’ESSAIE. »Identity CardNOM McCorner. C'est simple, concis et ça a la classe. Comme moi. ❖ PRENOM Cassandre, comme la nana de la mythologie. C'est sĂ»rement le seul truc bien que mes parents biologiques m'ont donnĂ©. ❖ AGE Je vais avoir 30 ans, lalala. Je le vis assez bien. L'Ăąge, c'est dans la tĂȘte, de toute façon ! ❖ DATE & LIEU DE NAISSANCE LĂ  encore, c'est une graaaande question. Selon les mĂ©decins, je serais nĂ©e aux alentours du 31 aoĂ»t. La date officielle choisie est donc le 31 aoĂ»t. De l'annĂ©e 1985. ❖ METIER Je suis photographe. SpĂ©cialisĂ©e dans les portraits et les paysages, mais je photographie tout et n'importe quoi. J'ai besoin d'immortaliser ce que je vois chaque jour. ❖ ORIENTATION SEXUELLE Je dirais hĂ©tĂ©rosexuelle. J'aime les hommes. Et je n'ai jamais testĂ© les femmes, mais pourquoi pas, un jour. ❖ STATUT MATRIMONIAL CĂ©libataire. Mais c'est par choix, et non par obligation. Je n'ai pas envie de me caser. ❖ GROUPE Superheroes ❖ CREDIT tag ❖ CELEBRITE Natalie cute Dormer Tell me ...All about you !Pourquoi ĂȘtre venu Ă  Southport ? C'est une petite ville ... Tu recherchais quoi ? La tranquilitĂ©, le calme ? Ou tu fuis quelque chose ?Je suis nĂ©e ici. Enfin ... Je crois. Ce que je sais, c'est que j'Ă©tais Ă  l'orphelinat de Wilmington, et que quand les McCorner m'ont adoptĂ©, quand j'avais sept ans, je suis venue vivre ici. J'ai grandi Ă  Southport, et aussi Ă©tonnant que cela puisse paraĂźtre, je ne me suis jamais sentie aussi bien qu'ici. J'ai beaucoup voyagĂ© dans ma vie, de par mon mĂ©tier, mais ça a toujours Ă©tĂ© un rĂ©el bonheur de revenir Ă  Southport Ă  chaque fois. J'ai beau courir le monde, faire le tour des pays ... Je sais que si un jour je dois me poser, ça sera ici et nulle part ailleurs. Je suis nĂ©e dans ce trou, je mourrais dans ce trou !Quel est ton plus grand secret ?Je suis malaaaaade, complĂštement malaaaaaade ... Je le dis en rigolant, mais le sujet est sĂ©rieux. Je suis atteinte de la neuropathie optique de Leber, qui fait qu'un jour, demain ou dans dix ans, je deviendrais aveugle. Et je le vis trĂšs mal. Je le sais depuis maintenant deux ans, et encore aujourd'hui, je suis incapable d'en parler. J'agis comme si de rien n'Ă©tait, comme si tout allait bien. Personne n'est au courant, parce que je refuse de voir la pitiĂ© dans le regard des gens. J'ai pas besoin de compassion. Behind the ScreenPRÉNOM & PSEUDO Doriane, Dodo, Dow. On dirait une conjugaison de verbe irrĂ©gulier. ❖ AGE 22 ans. ❖ TU HABITES OU ? A Aix en Provence, dans mon petit appart' rien qu'Ă  moi et Ă  mes colocs-> et un peu Ă  Sandra qui squatte . ❖ TU FAIS QUOI DANS LA VIE ? Animatrice enfants, et vous, c'est quoi votre super pourvoir ? ❖ COMMENT T'AS CONNU LE FORUM ? C'est mon bĂ©bééééé ! ❖ DERNIER MOT Kapalo. ❖ _________________ i'm my head down in the darkness,like so many nights before this ... In this bed where I rest, I'm homeless ... And it burns in my chest I'm Ă©dition par Cassandre McCorner le Sam 9 Mai - 1814, Ă©ditĂ© 3 fois Staff ♩ Reine des NeigesCassandre McCorner♩ Messages 35♩ Statut J'ai un flingue.♩ Profession Officier de police, profiler pour le FBI.♩ Avatar gemma artertonSujet Re CASSANDRE ○ pan pan pan, j'lui mettrais bien une cartouche ! Sam 9 Mai - 1521 Once Upon a Time...My Storychapter one ○ l' pouvoir vous conter mon enfance merveilleuse, quelque chose digne de ces contes de fĂ©e, avec des princesses, des princes et un mĂ©chant qui finit par ĂȘtre vaincu. Mais eh, la vie, c'est pas comme ces sornettes qu'on peut servir aux gosses de nos jours. La vie, elle est mesquine, sournoise. Je voudrais pouvoir vous dire il Ă©tait une fois », parce qu'il paraĂźt que toutes les histoires commencent comme ça. Pas la mienne. La mienne commence plutĂŽt par un tiens, tes parents sont inconnus, et tu as Ă©tĂ© trouvĂ© dans une poubelle ». Enjoy l'entrĂ©e en matiĂšre ! Ca va, je suis flex, j'en parle en rigolant, mais en vrai, c'est une rĂ©elle vie de merde. Comme je le disais donc, j'ai Ă©tĂ© trouvĂ© dans une poubelle, un sombre mois de Septembre 1985, dans les rues de Wilmington. J'avais quelques jours, Ă  tout casser. Les mĂ©decins ont prĂ©sumĂ© ma date de naissance au 31 aoĂ»t. C'est cool, c'est l'Ă©tĂ©, il fait chaud, mais honnĂȘtement, avoir une date de naissance sans savoir si c'est la vraie, c'est bien plus difficile Ă  vivre qu'il n'y paraĂźt. Mais j'suis pas chiante, je m'accommode. J'ai donc Ă©tĂ© amenĂ© par la suite Ă  l'orphelinat de Wilmington. LĂ  encore, bad experience. Jusqu'Ă  mes quatre ans, j'Ă©tais encore trop jeune pour avoir des souvenirs, ou mĂȘme rĂ©ellement poser problĂšmes, mais aprĂšs, ça a Ă©tĂ© une autre histoire. Le vrai cataclysme Cassandre ! Ah oui, parce que je m'appelle Cassandre. ParaĂźt que c'Ă©tait marquĂ© sur la couverture qui m'enveloppait. Parce que oui, on m'a abandonnĂ© dans une poubelle mais on a pris soin de me couvrir quand mĂȘme, faut pas dĂ©conner ! Un minimum de dĂ©cence avec les bĂ©bĂ©s, voyons ! Bref, c'est quand j'ai eu quatre ans que les soucis avec l'orphelinat ont commencĂ©. J'Ă©tais pas mĂ©chante, du moins je crois, mais j'Ă©tais assez turbulente. Du genre incapable de tenir en place, et toujours en quĂȘte de bĂȘtises Ă  faire. Je planquais des cafards dans les lits de mes copines, je dessinais sur les murs, je me battais aux rĂ©crĂ©ations, je grimpais dans les arbres 
 Une vraie terreur, et pourtant, je jure que j'Ă©tais gentille. J'avais des amis, et les gens m'aimaient bien, en gĂ©nĂ©ral. J'Ă©tais le genre de petite couillonne attachante, l'enfant qu'on a envie de gifler tant elle est insupportable mais auquel on ne peut s'empĂȘcher de faire des cĂąlins. La seule qui m'avait en horreur, c'Ă©tait la directrice de l'orphelinat. Ah ça ! Je ne compte plus le nombre de fois oĂč elle m'a puni. EnfermĂ©e dans le placard de son bureau pendant de longues heures, Ă  titre d'exemple. Elle pouvait pas me blairer, et c'Ă©tait rĂ©ciproque. Je la haĂŻssais, alors je redoublais d'inventivitĂ© pour l'emmerder. Selon elle, je n'Ă©tais qu'une petite peste inutile. Elle me disait que personne ne m'aimerait jamais, qu'aucun parents dotĂ©s d'un minimum de cervelle ne voudrait adopter une petite idiote telle que moi. J'Ă©tais bĂȘte, pas trĂšs jolie, incapable de faire quoi que ce soit de bien, mauvaise comme la peste, sournoise, insolente 
 Je vous passe toutes les horreurs qu'elle a pu me dire. Je crois que le problĂšme venait de lĂ . Je n'avais pas encore six ans, j'Ă©tais jeune et je ne savais pas qui j'Ă©tais. J'Ă©tais incapable de me dĂ©finir moi-mĂȘme, de trouver mon propre caractĂšre 
 Alors Ă  force d'entendre la directrice me rĂ©pĂ©ter Ă  longueur de journĂ©e que je n'Ă©tais qu'une petite peste insolente, c'est le rĂŽle que je me suis donnĂ©e. Je dĂ©teste parler de l'orphelinat, parce qu'Ă  mes yeux, ça me rappelle trop l'inutilitĂ© de mon existence. Encore aujourd'hui, des annĂ©es aprĂšs, je revois la directrice me regarder de ses petits yeux haineux, dĂ©crĂ©tant que personne ne m'aimerait jamais et que mĂȘme si un jour, par miracle, quelqu'un m'adoptait, il finirait par le regretter. D'ailleurs, elle Ă©tait convaincue que personne ne voudrait de moi, et pourtant 
 Je m'en souviens encore, c'Ă©tait un mois de Juin. J'avais sept ans, et je jouais dans la cour, quand j'ai vu la directrice y entrer, avec deux personnes, un homme et une femme. On savait tous que c'Ă©tait des parents Ă  la recherche d'enfants. Et en rĂšgle gĂ©nĂ©ral, on essayait de se montrer sous notre plus beau jour, pour qu'ils aient envie de nous aimer. Sauf que ce jour-lĂ , je n'avais pas envie. Mes cheveux Ă©taient emmĂȘlĂ©s, j'avais de la boue sur mon tee-shirt et le matin mĂȘme encore, la directrice m'avait rĂ©pĂ©tĂ© que j'Ă©tais inutile. Je n'ai donc pas cherchĂ© Ă  plaire Ă  ces gens. A quoi bon, puisque de toute façon, personne ne m'aimerait jamais ? Je suis restĂ©e dans mon coin, grimpant dans un arbre pour plus de tranquillitĂ©. Bien sĂ»r, la harpie directrice, surnom affectueux! a hurlĂ©, m'intimant de redescendre et s'excusant auprĂšs du couple, en leur disant que j'Ă©tais une tĂȘte brĂ»lĂ©e invivable. Moi, je me suis contentĂ©e d'observer le papa et la maman de mes grands yeux. Je n'avais qu'une envie 
 Partir d'ici. Loin, trĂšs loin. Et Ă  croire qu'ils m'ont entendus, car deux mois plus tard, ils m'avaient adoptĂ©. J'Ă©tais dĂ©sormais une McCorner, j'avais une famille, un nom, un chez moi ! Il ne m'a fallu que deux jours avant de considĂ©rer les McCorner comme mes parents. TrĂšs vite je les ai appelĂ© papa et maman, et encore aujourd'hui, je les considĂšre comme ma vraie famille. Je n'ai pas leur sang, mais quelle importance ? Ils ont fait de moi la femme que je suis Ă  ce jour, c'est le plus important. C'est ainsi que je suis arrivĂ©e Ă  Southport, petite ville tranquille de Caroline du Nord. Le reste de mon enfance a Ă©tĂ©, en soi, assez banale. Pas de grands drames, en mĂȘme temps, le dĂ©but de ma vie Ă©tant dĂ©jĂ  une lĂ©gĂšre VDM, je pense que j'avais le droit d'ĂȘtre un peu tranquille. Il s'est avĂ©rĂ© trĂšs vite que je n'avais aucune confiance en moi, et mes parents ont tout fait pour tenter de corriger ça. C'est eux qui m'ont poussĂ© dans ma passion pour la photographie, en m'encourageant, et en m'offrant chaque annĂ©e des appareils photos encore plus perfectionnĂ©s qu'avant. J'ai grandi ainsi, entourĂ©e d'amour et de joie. Je suis pourtant restĂ©e la mĂȘme tĂȘte brĂ»lĂ©e. Je le rĂ©pĂšte, je n'Ă©tais pas mĂ©chante, mais j'Ă©tais assez incontrĂŽlable. Mes notes Ă  l'Ă©cole jouaient aux montagnes russes, et je prĂ©fĂ©rais aller explorer la forĂȘt que de travailler. J'Ă©tais, et je suis toujours, une grande gueule. Je n'ai peur de rien, j'ose tout et quand j'Ă©tais plus jeune, ça ne plaisait pas toujours. Mes parents, bien qu'aimants, se sont souvent arrachĂ©s les cheveux devant ma franchise extrĂȘme et mon fort penchant pour l'adrĂ©naline. A 18 ans, je leur ai demandĂ© une moto. Ils ont refusĂ©. A 19 ans, je me la suis achetĂ©e avec mes Ă©conomies. Si je n'Ă©tais pas bosseuse Ă  l'Ă©cole, je l'Ă©tais pourtant en dehors. J'ai toujours Ă©tĂ© plus manuelle qu'intellectuelle. Je ne suis pas conne pour autant. Seulement, rĂ©flĂ©chir, chez moi, c'est assez secondaire. Je prĂ©fĂšre agir. C'est Ă  20 ans que j'ai commencĂ© Ă  voyager. J'ai eu de la chance, un coup de bol, d'ĂȘtre engagĂ©e comme photographe si jeune, et je me suis mise Ă  faire le tour du monde selon les besoins de mes employeurs. Une vraie petite globe trotter, appareil photo autour du cou, et sac Ă  dos sur les Ă©paules. J'en ai vu du pays, j'en ai immortalisĂ© des moments. Au dĂ©tour de ces souvenirs, j'ai rencontrĂ© Matthias. Un mĂ©decin, un intellectuel. Le contraire de moi en quelque sorte, mais un vrai rayon de soleil dans la misĂšre du monde que l'on cĂŽtoyait parfois. Parce qu'il travaillait pour MĂ©decins Sans FrontiĂšres, et que les pays oĂč j'ai eu l'occasion de le croiser Ă©taient les plus pauvres et les plus dĂ©munis de notre monde. Mais souvent, toujours, au milieu de cette misĂšre, je retrouvais le sourire de Matthias. Cinq fois. Cinq fois que nous nous sommes croisĂ©s, au dĂ©tour du globe, sans s'ĂȘtre concertĂ©s avant. Cinq fois, et Ă  chaque fois, des fous rires, des taquineries, une sorte de havre de paix au milieu de la dure rĂ©alitĂ©. Le genre d'amitiĂ© qu'on veut garder pour toujours. J'avais envie la vie que je voulais, j'Ă©tais heureuse. Puis tout a basculĂ©, de nouveau, il y a deux two ○ la optique de Leber. Quatre mots, simplement quatre mots 
 Et pourtant, ça peut faire basculer toute une vie. Toute ma vie. Bonjour mademoiselle McCorner. » Bonjour docteur. » On se serre la main et je m'assois. J'attends. J'attends que ce mĂ©decin me dise pourquoi il m'a convoquĂ©. Il y a deux jours, j'ai eu un accident de voiture, rien de bien grave, mais j'ai quand mĂȘme dĂ»t me rendre Ă  l'hĂŽpital, pour un examen de routine. Seulement voilĂ , ils m'ont rappelĂ© hier pour me faire de nouveaux examens, et aujourd'hui, nouvelle convocation. Ce que j'ai Ă  vous annoncer n'est pas facile, Cassandre. Suite aux examens que nous avons fait aprĂšs votre accident, nous avons dĂ©couvert que vous ĂȘtes atteinte de la neuropathie optique de Leber. » Je hausse les sourcils. Euh 
 A vos souhaits ? Et en terme que je peux comprendre, ça signifie ? » Je demande, avec mon habituel ton lĂ©ger. Pour autant, mon cƓur bat Ă  tout rompre. Parce que j'ai peur, tellement peur de ce que ça pourrait ĂȘtre. Cela signifie que vous finirez par perdre la vue. »Le reste de ses paroles, je ne les ai pas rĂ©ellement Ă©coutĂ©, ce jour-lĂ . L'issue de ma maladie m'a figĂ© sur place. La neuropathie optique de Leber est une maladie gĂ©nĂ©tique, gĂ©nĂ©ralement transmis par les femmes. Ce qui signifie que ma mĂšre biologique en Ă©tait soit atteinte, soit porteuse du gĂȘne. Sympa maman. Tu m'abandonnes, mais tu me refiles une connerie. Le fait que les symptĂŽmes peuvent se dĂ©clencher n'importe quand. Demain, ou dans des annĂ©es 
 Les mĂ©decins m'ont tout expliquĂ©. Je commencerais par mal y voir, d'abord d'un Ɠil, puis de l'autre. La situation se dĂ©gradera trĂšs vite, Ă  un point que je ne pourrais plus voir les choses si elles sont Ă  plus de dix centimĂštres de moi 
 AprĂšs cette phase, vient normalement une phase d'amĂ©lioration, pour quelques temps. La cĂ©citĂ© n'est pas une issue obligatoire de la maladie, Ă  moins que le patient boive, fume beaucoup, ou l'ai beaucoup fait dans le passĂ©. Ce qui est mon cas. Je n'Ă©tais pas une adolescente ni mĂȘme une jeune femme ultra turbulente et rebelle aprĂšs que les McCorner m'ait adoptĂ©, mais j'ai souvent fait la fĂȘte, bu plus que de raisons et jusqu'Ă  ce qu'on me diagnostique ma maladie, je fumais comme un pompier. Pour toutes ces raisons, je finirais aveugle. Je le sais, je le sais depuis deux ans ans maintenant, mais Dieu me pardonne, je n'arrive toujours pas Ă  l'accepter. Mes yeux sont mon mĂ©tier. Depuis que je suis nĂ©e, j'ai toujours pensĂ© que sur nos cinq sens, c'Ă©tait perdre la vue qui devait ĂȘtre le pire. Rendez moi sourde, muette, insensible aux odeurs ou aux goĂ»ts, je m'en fiche 
 Mais ne me prenez pas ma vue. Pas ça, pas comme ça 
 Je vis chaque jour comme si c'Ă©tait la derniĂšre fois que je voyais le monde. Parce qu'Ă  partir du moment oĂč les symptĂŽmes se dĂ©clencheront, tout ira trĂšs vite. Je serais d'abord malvoyante, pour finir complĂštement aveugle. Et cela peut m'arriver dans dix ans, ou bien demain. Un matin, je me lĂšverai, et ma vue sera entachĂ©e. Depuis quatre ans, cette maladie est mon secret. Je n'en parle pas, jamais. De mes proches, trĂšs peu sont au courant. Je garde pour moi, j'enfouis au plus profond de moi ce que je peux ressentir. J'ai peur. Peur de voir mon monde s'assombrir. Peur de ne plus voir le sourire de mes proches. Peur de ne plus voir les couleurs, les formes, tout ce qui fait le monde 
 J'ai peur du noir, de l'obscuritĂ©. J'ai peur de devenir un fardeau pour mes proches, car perdre la vue, c'est perdre en autonomie, quand bien mĂȘme on peut se dĂ©brouiller seul avec les progrĂšs de notre monde. J'ai peur de devenir invisible, si les autres le deviennent pour moi. J'ai peur de mon avenir, j'ai peur de ma maladie. Et plus que tout, j'ai peur de moi-mĂȘme et de ma rĂ©action le jour oĂč tout se three ○ aujourd' puis aprĂšs, quoi ? La vie continue. Cruelle, implacable, elle ne vous attends pas pour avancer. Alors il y a deux options soit vous restez au sol, et vous vous laissez piĂ©tiner, soit vous relevez la tĂȘte et vous foncez pour ne pas que la vie vous fasse trĂ©bucher de nouveau. J'ai choisi de foncer. J'ai enfoui le secret de ma maladie au plus profond de moi, et j'ai continuĂ© de vivre comme si rien n'avait changĂ©. Personne n'est au courant, Ă  part mon frĂšre. Pour ce qui est du reste, je m'efforce de ne rien laisser paraĂźtre. Je suis plutĂŽt douĂ©e Ă  ce petit jeu. Les gens vous diront toujours que Cassandre est timbrĂ©e, extravertie, rayonnante, joyeuse, un peu conne, tĂȘtue 
 Mais jamais que Cassandre est triste. Triste ? Ca ne semble pas aller avec ma personne. Face aux autres, je suis toujours un roc, la fille qui redonne de la bonne humeur, qui dissipe les larmes. Celle que rien n'atteint, jamais. Et pourtant, croyez moi, ça m'arrive aussi de pleurer le soir, au fond de mon lit, quand je suis seule. Parce qu'un jour, tout ça n'existera plus. Un jour, mon regard s'Ă©teindra et il ne restera que les tĂ©nĂšbres. Mais je refuse de me laisser abattre. Je refuse qu'on me prenne en pitiĂ©. Qu'on me regarde avec des ooh pauvre chĂ©rie » ou des la vie est dĂ©cidĂ©ment trop injuste ». Je ne veux pas qu'on se souvienne de moi parce que je suis cette fille qui va devenir aveugle. Je veux qu'on se souvienne de moi pour ce que je suis rĂ©ellement. Ainsi va la vie. Ainsi va ma vie. _________________ i'm my head down in the darkness,like so many nights before this ... In this bed where I rest, I'm homeless ... And it burns in my chest I'm Ă©dition par Cassandre McCorner le Sam 9 Mai - 1827, Ă©ditĂ© 5 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re CASSANDRE ○ pan pan pan, j'lui mettrais bien une cartouche ! Sam 9 Mai - 1649 Staff ♩ Reine des NeigesCassandre McCorner♩ Messages 35♩ Statut J'ai un flingue.♩ Profession Officier de police, profiler pour le FBI.♩ Avatar gemma artertonSujet Re CASSANDRE ○ pan pan pan, j'lui mettrais bien une cartouche ! Sam 9 Mai - 1709 JOTEM COMME UN FOU, COMME UN SOLDAT ! _________________ i'm my head down in the darkness,like so many nights before this ... In this bed where I rest, I'm homeless ... And it burns in my chest I'm homeless. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re CASSANDRE ○ pan pan pan, j'lui mettrais bien une cartouche ! Sam 9 Mai - 1850 Azy ! Non non non. C'est moi qui t'aime owh Staff ♩ Reine des NeigesCassandre McCorner♩ Messages 35♩ Statut J'ai un flingue.♩ Profession Officier de police, profiler pour le FBI.♩ Avatar gemma artertonSujet Re CASSANDRE ○ pan pan pan, j'lui mettrais bien une cartouche ! Sam 9 Mai - 1930 AIMEZ MOI TOUS ! _________________ i'm my head down in the darkness,like so many nights before this ... In this bed where I rest, I'm homeless ... And it burns in my chest I'm homeless. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re CASSANDRE ○ pan pan pan, j'lui mettrais bien une cartouche ! CASSANDRE ○ pan pan pan, j'lui mettrais bien une cartouche ! Page 1 sur 1 Sujets similaires» CASSANDRE ✖ and it burns in my chest i'm homeless.» Un dĂźner bien mĂ©ritĂ© ∞ McGee & FranniePermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumGO YOUR OWN WAY MĂȘme que des fois, moi ze vomis ! MEURS ! PrĂ©sentations/fiches de liens/scĂ©narios
PAN PAN PAN J'LUI METTRAIS BIEN UNE CARTOUCHE, JE N'SUIS PAS CHASSEUR MAIS J'LUI METTRAIS BIEN UNE CARTOUCHE, ALLEZ.”
Chaque annĂ©e Le Festif! essaie de proposer de nouvelles initiatives. AprĂšs deux annĂ©es atypiques en raison de vous savez quoi, le festival est de retour Ă  100% avec les coudĂ©s franches et l’envie de renouer avec la folie qui s’empare de Baie-St-Paul. On est toujours dans des lieux atypiques, donc on a toujours des choses Ă  gĂ©rer. L’an passĂ©, on a fait KlĂŽ Pelgag dans un champ pis le producteur Ă  cĂŽtĂ© a dit 
l’an prochain faut que ce soit tranquille, nos vaches ont freaké». J’ai envoyĂ© ma prog cette annĂ©e en lui montrant que c’était tranquille. Il faut presque je fasse autoriser ma prog pour des vaches. » C’est cette rĂ©alitĂ© qui occupe l’organisation lorsqu’il prĂ©pare une nouvelle Ă©dition. MĂȘme son de cloche pour la scĂšne flottante qui nĂ©cessite des autorisations d’une organisation de protection de la riviĂšre Ă  saumon. ClĂ©ment Turgeon ThĂ©riault, directeur gĂ©nĂ©ral et artistique de Le Festif! de Baie-St-Paul, ne s’en plaint pas. Pour lui, l’entente avec la communautĂ© est primordiale, ce sont ses voisins. Les dĂ©fis de l’international Chaque annĂ©e, Le Festif! se fait un devoir de faire venir des groupes internationaux Ă  Baie-St-Paul. Ceci crĂ©e son lot de dĂ©fis. Cette annĂ©e, 14 artistes viennent de l’extĂ©rieur du QuĂ©bec, dont le Golden Dawn Arkestra et Mattiel des États-Unis, L’ImpĂ©ratrice et Polo & Pan de France, King Hannah d’Angleterre et Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp de Suisse. Je booke souvent des bands plus underground. Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp ils m’ont dit ça va ĂȘtre difficile. Ils sont 14 dans le band. Heureusement, Marilyne Lacombe Mothland a embarquĂ© dans le projet et ils font une dizaine de dates. On a initiĂ© ça en septembre, donc ç’a pris plusieurs mois pour y arriver. » L’autre chose qui rend la programmation plus compliquĂ©e, ce sont les clauses d’exclusivitĂ©s qui font souvent partie des contrats que les artistes signent avec d’autres organisations. Je ne veux pas m’embarquer dans une guerre contre ça et me mettre Ă  dos des gens. Nous, on ne fait pas ça. C’est sĂ»r qu’on demande qu’ils ne jouent pas immĂ©diatement avant ou aprĂšs dans notre rĂ©gion Charlevoix parce que ça serait dull. C’est juste le gros bon sens. Souvent ce sont de plus gros festivals aussi qui demandent ce genre de chose et nous, nous n’avons pas du tout les mĂȘmes jauges. On ne va pas leur nuire. » La diversitĂ© Lorsque je lui demande s’il y a une prise qui le rend particuliĂšrement fier, ClĂ©ment Turgeon ThĂ©riault me rĂ©pond que ce qui le rend le plus fier cette annĂ©e, c’est la paritĂ©. Le festival a rĂ©ussi Ă  atteindre un Ă©quilibre 50 / 50 hommes et femmes. Mais ce n’est pas tout, c’est aussi une diversitĂ© culturelle, mais aussi d’ñge. On y pense pas souvent, mais entre les Lunatiques et Diane Tell, il y a des gĂ©nĂ©rations de diffĂ©rences. On essaie aussi de trouver la limite oĂč on peut aller. Si on avait programmĂ© Marc DuprĂ©, tu nous trouverais peut-ĂȘtre un peu bizarres, mais Édith Butler, ça marche. Elle vient juste de lancer un album rĂ©alisĂ© par Lisa Leblanc. Je suis trĂšs intĂ©grĂ© dans la rĂ©gion et je dois trouver le juste milieu pour la population. On ne veut pas imposer juste une grille de bands underground Ă  la rĂ©gion. » Ça permet aussi de faire venir des groupes Ă  Baie-St-Paul qui ne pourrait pas y aller autrement. Le but aussi, c’est de mĂ©langer ce que le grand public a envie de voir et d’autres artistes moins connus. En 13 ans, le directeur du festival a remarquĂ© une grosse diffĂ©rence dans les habitudes d’écoutes de la population. Le but est de faire du dĂ©veloppement de public. Rendre sa pandĂ©mie utile Pendant les deux annĂ©es plus rocambolesques que nous avons vĂ©cues collectivement, Le Festif! a tĂąchĂ© de crĂ©er des initiatives pour les citoyens. Que ce soit la tournĂ©e aux portes ou encore Le Festif! Ă  l’école, l’organisation peut se vanter d’avoir mis en place des projets qui durent dans le temps, malgrĂ© le retour Ă  la normale ». Dans ceux qui tiennent le plus Ă  coeur Ă  ClĂ©ment Turgeon ThĂ©riault, il y a le projet dans les Ă©coles. Avant j’étais travailleur social et j’ai toujours travaillĂ© avec les jeunes dans les maisons de jeunes. Je m’occupais du volet musical. C’est un peu une boucle qui se complĂšte. L’an prochain, on s’en va dans 70 Ă©coles Ă  travers tout le QuĂ©bec. On part en tournĂ©e en octobre et on va l’ĂȘtre jusqu’en avril 2023. On va dans des communautĂ©s autochtones et sur la Basse-CĂŽte-Nord. On explore le QuĂ©bec! » Le projet est tellement populaire qu’il a reçu 325 demandes, mais faute de moyens, ils en feront 70. Ce qui est dĂ©jĂ  beaucoup! L’organisation a donc dĂ©cidĂ© que ce serait un projet qui restera intact pour les prochaines annĂ©es. Une bonne nouvelle pour les Ă©coles et pour Le Festif! On se voit donc au Festif! de Baie-St-Paul du 21 au 24 juillet prochain! Pour en connaĂźtre plus sur la programmation, c’est par ici! *Cet article a Ă©tĂ© créé en collaboration avec le Festif! de Baie-St-Paul. CrĂ©dit photo Jay Kearney Z7d0T.
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